La maladie de Parkinson est l’une des maladies neurodégénératives les plus fréquentes et pose des défis importants et continus à la neurologie. Il a longtemps été clair que l’âge était le facteur de risque déterminant – mais les mécanismes par lesquels le vieillissement biologique et la dégénérescence neuronale interagissent n’ont été que partiellement compris jusqu’à présent. Ces dernières années, un processus cellulaire est devenu de plus en plus central dans la recherche : la sénescence. Elle décrit un état de résilience irréversible du cycle cellulaire, accompagné de profonds changements métaboliques et d’un profil de sécrétion pro-inflammatoire.
Autoren
- Tanja Schliebe
Publikation
- InFo NEUROLOGIE & PSYCHIATRIE
Related Topics
Vous devriez également aimer
- Réunion annuelle de la SID : faits marquants
Mise à jour sur les dermatoses inflammatoires – un concentré d’innovation
- Série de cas
Prophylaxie des hémorragies dans la maladie de von Willebrand
- Une analyse critique des preuves issues de 113 études
Alimentation et dépression
- Une interface émergente avec une pertinence clinique
Cancer du poumon et neurosciences
- Leucémie aiguë : gestion de la maladie
Priorités du point de vue des patients et des aidants familiaux
- Bronchodilatateurs pour l'asthme
L’oiseau matinal … prend l’air
- Maladie rénale chronique (MRC)
Triage des patients à risque – Mise à jour 2025
- Réunion annuelle de l'AAD : revue