Dans le système de santé suisse, la télémédecine est depuis 20 ans déjà un instrument important dans le domaine des soins médicaux aigus. En cas de problèmes de santé aigus ou généraux, les offres numériques sont le premier point de contact pour de nombreuses personnes et font désormais partie intégrante du portefeuille des assureurs santé. Grâce au diagnostic basé sur l’imagerie morphologique, la dermatologie est plus que toute autre discipline prédestinée à l’utilisation de ces technologies.
Dans le système de santé suisse, la télémédecine est depuis 20 ans déjà un instrument important dans le domaine des soins médicaux aigus. En cas de problèmes de santé aigus ou généraux, les offres numériques sont le premier point de contact pour de nombreuses personnes et font désormais partie intégrante du portefeuille des assureurs maladie [1].
Grâce au diagnostic basé sur l’imagerie morphologique, la dermatologie est plus que toute autre discipline prédestinée à l’utilisation de ces technologies. L’utilisation des technologies de télécommunication est donc de plus en plus présente dans le travail dermatologique [2]. Tant pour le diagnostic que pour la consultation et le triage, il est possible de s’appuyer sur des connaissances scientifiques étendues.
Cet article a pour but de fournir aux dermatologues des connaissances sur les domaines d’application de la télédermatologie évalués scientifiquement et de les informer sur l’intégration dans l’activité médicale au quotidien. La formation s’adresse aux spécialistes en dermatologie en clinique et en cabinet ainsi qu’aux assistants en formation continue.
Le contenu abordera les formes d’applications télédermatologiques, mettra en lumière les exigences du travail numérique, présentera les domaines d’application évalués scientifiquement et décrira l’intégration pratique à l’aide d’un exemple pratique.
Formes de télédermatologie
La Société suisse de dermatologie et de vénéréologie se prononce en faveur des consultations de télémédecine dans le domaine de la dermatologie et les considère comme une bonne alternative au contact direct avec le patient. Selon la société, la qualité et la sécurité des offres sont primordiales. En outre, la rentabilité de l’utilisation doit être assurée [3].
Le terme de télémédecine désigne différents concepts de soins médicaux dans le cadre desquels les prestations médicales dans les domaines du diagnostic, de la thérapie et de la rééducation ainsi que les conseils médicaux décisionnels sont effectués à distance à l’aide des technologies de l’information et de la communication [4]. Les offres de télémédecine en dermatologie peuvent être différenciées en consultations synchrones et asynchrones. La télémédecine synchrone, plus communément appelée vidéo-consultation, permet au personnel médical d’être en contact direct avec un patient. Il y a donc une synchronisation temporelle avec une séparation locale.
Les avantages de la télémédecine synchrone se situent principalement du côté des personnes traitées : Les consultations médicales ou les formations spécialisées pour les patients sont possibles sans perdre de temps à se déplacer ou à attendre. Pour le personnel du cabinet, les avantages sont une réduction du contact personnel avec les patients, par exemple à l’enregistrement, et une atmosphère de travail plus calme grâce à la réduction du flux de patients. D’un point de vue médical, un point essentiel de la télémédecine synchrone reste inchangé : Les deux parties doivent toujours être présentes en même temps pour l’entretien médecin-patient – un rendez-vous fixe est toujours nécessaire et le temps consacré à l’entretien médecin-patient reste inchangé. Il en résulte que la vidéoconsultation reproduit des processus existants dans un environnement numérique sans les modifier ou les rendre plus efficaces du côté du médecin [5].
Les offres différées créent un gain d’efficacité dans la pratique
Dans le cadre des consultations asynchrones, les patients exposent leurs préoccupations par écrit. Cette télémédecine en temps différé permet aux médecins d’échanger avec les personnes concernées sans avoir besoin d’être disponibles en même temps. L’anamnèse est réalisée à l’aide d’une solution numérique – par exemple le long d’un chatbot intuitif ou d’un formulaire d’anamnèse. Dans ce contexte, l’application numérique interroge les facteurs les plus importants tels que les symptômes, les allergies et les antécédents médicaux. Les traitements antérieurs sont également pris en compte. En plus de l’anamnèse, les patients téléchargent des photos de leurs lésions cutanées. La solution numérique traite les informations et les documents obtenus et les transmet aux médecins concernés. Les parties ne doivent donc pas traiter la demande en même temps. Dans le cas d’une offre de télémédecine asynchrone, les patients reçoivent le retour de leur demande sous forme écrite. Cela se fait de manière protégée selon les normes actuelles de la nouvelle loi suisse sur la protection des données et du RGPD, sécurisées par des facteurs d’authentification et d’autorisation appropriés. Pour ce faire, le professionnel de santé évaluateur envoie, dans un délai prédéfini, un document individualisé contenant le diagnostic et la recommandation thérapeutique correspondante. Grâce à la documentation écrite, il est possible de revoir une recommandation ultérieurement et d’enseigner plus facilement aux patients les algorithmes thérapeutiques séquentiels. Des enquêtes récentes montrent un haut niveau de satisfaction parmi les patients qui ont bénéficié d’une telle consultation de télédermatologie [6]. Pour les personnes concernées par un problème de peau, il en résulte en résumé une disponibilité rapide d’informations et de recommandations présentées de manière compréhensible, ainsi qu’un accès facilité aux soins dermatologiques et un haut degré de participation [7]. Dans une étude menée par Otten et al. 86,6 % des personnes interrogées ont déclaré que leur demande avait permis de clarifier leur situation [8].
Contrairement aux consultations vidéo classiques, les consultations différées permettent de modifier les processus au sein du cabinet de dermatologie : Le personnel médical peut structurer de manière autonome le moment où les cas numériques doivent être traités. Grâce aux outils numériques disponibles, les processus et les procédures peuvent être conçus de manière plus efficace – ce qui permet de disposer de plus de capacités pour les cas exigeants dans la pratique et d’améliorer ainsi directement les soins [6]. De plus, la qualité de l’image est nettement supérieure à celle d’un appel vidéo, ce qui, dans la pratique dermatologique, contribue fortement à la qualité du diagnostic. Lors de la prise de photos, les smartphones sont aujourd’hui capables de fournir une qualité d’image acceptable même lorsque l’éclairage de l’image est insuffisant, tout en préservant la fidélité des couleurs.
Différents concepts de soins en télémédecine asynchrone
Dans le domaine de la télédermatologie asynchrone, c’est-à-dire en temps différé, on peut distinguer les modèles de plateformes fermées et ouvertes. Dans les modèles fermés, les médecins salariés traitent les demandes des patients de manière numérique asynchrone. Cela permet de concentrer les demandes sur un petit nombre de professionnels.
A l’opposé, le modèle de plateforme ouverte permet à chaque dermatologue d’évaluer numériquement des cas existants et/ou nouveaux. S’il n’est pas possible de répondre numériquement à une demande en raison d’incertitudes ou d’une qualité d’image insuffisante, ou si une biopsie est nécessaire, le patient est présenté au cabinet. Il en résulte un lien entre sa propre pratique analogique et la pratique numérique.
Les avantages pour les cabinets participants sont un gain d’efficacité et une participation aisée au changement numérique. Contrairement aux approches fermées de la télémédecine asynchrone, où quelques médecins bénéficient des cas de télédermatologie, le modèle de plateforme permet un accès facilité pour tous les participants*. Les cas rentables et faciles à traiter restent donc du ressort des médecins libéraux. En revanche, la numérisation de la dermatologie, indépendamment des structures de soins locales, conduit à une division en deux : les personnes ayant un problème de peau reçoivent des diagnostics numériques et des recommandations d’action. Cependant, lorsqu’une présentation dans un cabinet médical est nécessaire, ils sont à nouveau soumis aux délais d’attente normaux pour obtenir un rendez-vous et subissent une grande perte d’informations, car le cas doit à nouveau être traité par un médecin.
Cadre et exigences
Il existe un consensus d’experts en dermatologie sur le fait qu’un traitement télédermatologique de qualité garantie peut apporter une valeur ajoutée aux soins. L’utilisation dépend de l’attente d’un bénéfice supplémentaire pertinent pour les patients sans inconvénient pour eux ou pour le personnel médical. Des exigences peuvent être définies en conséquence. Ainsi, il faut s’assurer au préalable que l’équipement logiciel et matériel nécessaire à l’utilisation des procédures de télédermatologie est disponible et sécurisé au sens de la protection des données. La mise en œuvre technique doit également être conforme à la législation sur la protection des données en ce qui concerne la documentation, le stockage et le partage des informations. Par exemple, les e-mails et les services de messagerie non cryptés ne répondent pas aux exigences correspondantes. En outre, il est nécessaire que toutes les personnes impliquées connaissent les spécificités des produits de télédermatologie. Il s’agit non seulement du médecin, mais aussi du personnel du cabinet et des patients [7].
Possibilités d’utilisation et domaines d’application
L’utilisation de la télédermatologie est variée et les études sont nombreuses. Des évaluations scientifiques sont disponibles pour le diagnostic, le triage, le contrôle de l’évolution et le suivi postopératoire.
Dans le cadre du triage télédermatologique, les médecins peuvent évaluer quels cas doivent être examinés sur place dans le cabinet médical selon une présentation numérique et dans quels cas un diagnostic numérique avec des recommandations d’action est suffisant. Si l’outil est utilisé efficacement, il permet d’éviter les consultations sur place qui auraient pu être évitées et de libérer des capacités dans les cabinets médicaux [9].
On constate également une forte concordance dans le contexte de l’établissement du diagnostic. Une étude de Sondermann et al. a pu démontrer, par exemple, que dans les cas ayant fait l’objet d’une première évaluation télédermatologique, le diagnostic était concordant dans 97% des cas lors d’une deuxième évaluation [10]. De plus, un diagnostic peut être posé numériquement chez la majorité des personnes concernées. Les chiffres d’OnlineDoctor, le leader du marché de la télédermatologie en Suisse, montrent que 85% des cas sont conclus par voie numérique. Cela correspond aux taux d’achèvement d’autres prestataires de télédermatologie [8].
Des domaines d’application supplémentaires pour la télédermatologie asynchrone dans un modèle de plate-forme sont le suivi des maladies chroniques ainsi que le suivi postopératoire et le contrôle des plaies [11]. Les déplacements et les temps d’attente sont supprimés pour les patients souffrant d’une maladie chronique grâce à des contrôles télédermatologiques réguliers. Le monitoring s’effectue ici en fonction des besoins, ce qui permet d’intervenir plus rapidement en cas d’échec du traitement ou d’aggravation de la situation. Du côté des médecins, on note un gain de temps, de la flexibilité et des incitations économiques. Le contrôle du traitement lors de thérapies systémiques à long terme a également été évalué scientifiquement et peut être représenté par télédermatologie : Les adaptations de doses, l’information sur les effets secondaires possibles ainsi que le moment et l’ampleur du succès escompté du traitement peuvent être effectués de manière comparable par voie numérique et analogique [6].
État de la recherche sur l’utilisation du suivi numérique
En ce qui concerne le suivi télédermatologique, la qualité des soins pour le psoriasis, l’acné et la dermatite atopique a été largement étudiée [13–15]. Les essais contrôlés randomisés démontrent une équivalence. Ainsi, dans une étude américaine, les personnes atteintes de psoriasis et leur médecin généraliste ont pu partager des demandes, des images et d’autres informations par voie numérique avec le personnel médical spécialisé en dermatologie. Au final, le suivi numérique a été tout aussi efficace [13]. Dans des études similaires, les mêmes effets sont observés pour la dermatite atopique et l’acné : Les résultats du traitement clinique des personnes concernées ont été équivalents à ceux du groupe de contrôle qui a reçu des consultations analogues [15].
La télédermatologie en pratique
En Suisse, un cabinet de dermatologie sur quatre utilise le produit d’OnlineDoctor pour la consultation télédermatologique. La plate-forme permet au personnel médical spécialisé d’effectuer des diagnostics efficaces et conformes à la protection des données pour les cas existants et nouveaux. Pour ce faire, le dermatologue s’enregistre gratuitement sur OnlineDoctor avec un texte descriptif et une photo. Les personnes souffrant d’une maladie de la peau choisissent sur le site www.onlinedoctor.ch quel professionnel de la dermatologie doit établir le diagnostic. La personne concernée paie 55 CHF pour la demande, dont OnlineDoctor retient une partie pour le fonctionnement de la plate-forme. Le reste est versé aux dermatologues à la fin du mois pour chaque cas.
Pour la collecte des résultats, OnlineDoctor utilise un assistant de chat interactif qui s’adapte à la maladie de peau à clarifier et aux spécificités de la demande. L’assistant de chat guide également les patients lors de la prise de photos afin de s’assurer que l’angle de vue et l’exposition sont optimaux.
L’évaluation des pathologies télédermatologiques courantes se fait en 48 heures maximum. Les médecins disposent à cet effet d’éléments de texte formulés, compréhensibles par les profanes et structurés. Le contenu est adapté aux spécificités de la communication numérique et comprend des recommandations thérapeutiques qui sont possibles et réalisables par la personne concernée dans son environnement domestique. Il existe également des modèles de parcours séquentiels qui peuvent être utilisés en fonction de la gravité et de l’amélioration de l’état de la maladie. En plus du diagnostic individuel et des recommandations thérapeutiques, des conseils supplémentaires peuvent être envoyés aux patients. Il s’agit par exemple d’informations sur la prévention des récidives, l’intensification du traitement et l’utilisation complexe de produits thérapeutiques. Chaque dermatologue dispose d’une archive personnelle via OnlineDoctor, dans laquelle toutes les étapes de travail sont documentées. Il est ainsi possible de se référer à d’anciennes demandes en cas de questions. Si nécessaire, un rendez-vous physique au cabinet peut être proposé.
Application dans la pratique quotidienne
Sur la base d’une enquête menée auprès de 30 médecins utilisateurs, qui ont chacun examiné au moins 30 cas par mois sous forme numérique, il est possible de tirer des enseignements de la pratique quotidienne. Dans seulement un pour cent des cas, des informations complémentaires manquent et nécessitent de reprendre contact avec le patient par e-mail, téléphone ou message texte. L’utilisation des éléments de texte existants est possible dans 75% des cas, de sorte que seuls des ajustements mineurs doivent être apportés au texte. Seuls 15% des patients se voient recommander une visite physique au cabinet, par exemple pour une biopsie ou un examen dermatoscopique, à l’issue de la consultation numérique.
Intégration pratique dans la pratique quotidienne
Dans une approche dite “digital first”, l’outil d’OnlineDoctor permet à un cabinet de dermatologie d’utiliser la télédermatologie à grande échelle. Les patients peuvent prendre leurs rendez-vous sous forme de consultation numérique si cela est médicalement utile du point de vue du médecin et si le patient le souhaite. En fonction des besoins, l’équipe du cabinet décide quels cas, nouveaux ou existants, se prêtent à un traitement numérique. Cela permet d’associer l’expertise médicale locale à des diagnostics numériques rapides. L’assistance personnelle peut être combinée efficacement et individuellement avec le numérique. Le personnel médical gère ainsi activement les flux de patients, peut proposer plus rapidement un diagnostic et une aide médicale dans les cas peu clairs et traiter les cas plus rapidement.
Augmentation du nombre de cas et liberté temporelle accrue grâce au Digital-First
Le Dr Paul Scheidegger, cofondateur d’OnlineDoctor et dermatologue possédant son propre cabinet à Brugg, a structuré son activité dans l’esprit de cette approche “numérique d’abord”, ce qui lui permet d’utiliser au mieux les ressources humaines pour le bien de ses patients.
Le moteur central est la gestion active du collectif de patients dans une perspective pratique. Un “check-in intelligent” permet de décider efficacement quels cas doivent être vus sur place dans le cadre du triage. La base est une communication complète de l’offre de la part de l’ensemble du personnel du cabinet : pour cela, le personnel du cabinet a participé à des formations MPA d’OnlineDoctor. Par le biais du lien de télédermatologie sur le site web et par téléphone, l’équipe informe de manière proactive et complète, dans l’esprit du triage numérique, de la possibilité de consultation numérique. De plus, il existe des liens de télédermatologie sur le profil Google du cabinet. Pour les entretiens téléphoniques avec les patients, il existe un questionnaire destiné aux collaborateurs du cabinet médical, sur la base duquel ils décident quels cas peuvent être traités par télédermatologie. Cette formation augmente massivement l’efficacité dans la pratique et permet d’atteindre un haut niveau de qualité dans la communication directe avec les patients. Pour les patients existants qui se rendent au cabinet médical, il existe en outre du matériel d’information facilement compréhensible sous forme de brochures, de dépliants et de cartes de visite. De cette manière, non seulement les cas aigus, mais aussi les malades chroniques peuvent bénéficier des services de télédermatologie du cabinet. Le Dr Scheidegger et ses collaborateurs discutent individuellement pour savoir si une consultation numérique est appropriée et souhaitée par le patient, par exemple pour un rendez-vous de suivi ou de contrôle. La mise en œuvre cohérente de la stratégie “Digital First” permet au Dr Scheidegger d’utiliser au mieux ses propres compétences médicales dans l’intérêt des personnes concernées. Il définit ainsi activement, dans l’esprit de sa spécialisation médicale, les patients qu’il souhaite traiter dans son cabinet sur place. Ce gain d’efficacité lui a également permis d’embaucher du personnel médical supplémentaire et de réduire considérablement les délais d’attente pour les personnes concernées. L’accès rapide et pratique à l’aide médicale a en outre considérablement augmenté la satisfaction des personnes traitées dans son cabinet depuis l’introduction du service de télédermatologie.
Messages Take-Home
- La dermatologie est prédestinée à l’application des technologies de télémédecine en raison des diagnostics basés sur l’imagerie morphologique.
- Un traitement télédermatologique dont la qualité est garantie peut apporter une valeur ajoutée aux soins.
- Contrairement aux consultations vidéo classiques, les consultations en différé permettent d’optimiser les processus dans les cabinets de dermatologie.
- L’utilisation de la télédermatologie est variée et les études sont nombreuses. Des évaluations scientifiques sont disponibles pour le diagnostic, le triage, le contrôle de l’évolution et le suivi postopératoire.
- Le suivi personnel des patients peut être combiné efficacement et individuellement avec le numérique grâce à l’utilisation de la télédermatologie. Le personnel médical gère ainsi activement les flux de patients, peut proposer plus rapidement un diagnostic et une aide médicale dans les cas peu clairs et traiter les cas plus rapidement.
Littérature :
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DERMATOLOGIE PRATIQUE 2023 ; 33(6) : 14-18