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  • Examen et biofeedback pour les maux de tête et les douleurs faciales

Le biofeedback est devenu un élément incontournable de la thérapie

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Les maux de tête et les douleurs faciales font partie des plaintes les plus fréquentes qui poussent les patients à consulter un médecin. Une étude d’observation réalisée en 2000 a montré que dans près de 10% des consultations en soins primaires, les céphalées étaient la plainte principale. Seuls 6% des hommes et 1% des femmes n’ont jamais ressenti de maux de tête au cours de leur vie.

Les maux de tête et les douleurs faciales font partie, avec les maux de dos, des plaintes les plus fréquentes qui amènent les patients à consulter un médecin [1]. Une étude d’observation réalisée en 2000 a montré que dans près de 10% des consultations en soins primaires, les céphalées étaient la plainte principale [2]. Seuls 6% des hommes et 1% des femmes n’ont jamais ressenti de maux de tête au cours de leur vie [3]. Il est important de noter qu’un large éventail de pathologies peut se manifester sous la forme de maux de tête ou de douleurs faciales. Outre les pathologies neurologiques, le diagnostic différentiel doit également prendre en compte les pathologies relevant de différentes autres spécialités, telles que l’odontologie, l’oto-rhino-laryngologie, l’angiologie ou la rhumatologie.  

Anamnèse

En principe, la classification internationale des céphalées (ICHD-3) distingue en trois chapitres les céphalées primaires des céphalées secondaires et des névralgies. Les céphalées primaires sont définies ou caractérisées par le fait qu’aucune étiologie n’est identifiable [4]. Par conséquent, d’un point de vue clinique, l’anamnèse occupe une place centrale dans le diagnostic, tandis que l’examen n’a que peu d’importance en raison de l’absence de pathologies décelables. Cela s’applique par analogie aux névralgies idiopathiques. Il s’agit notamment de déterminer l’apparition initiale, la durée, le schéma temporel, la qualité, les déclencheurs et les modulateurs, ainsi que les diagnostics et traitements antérieurs.

Comme les facteurs contextuels de santé générale et psychosociaux peuvent avoir une influence significative sur l’apparition des symptômes, leur évolution et le pronostic, ils doivent être discutés en détail dès le début avec les personnes concernées. Lors de la réflexion sur les aspects psychosociaux, il est nécessaire d’adopter une attitude respectueuse, de garantir l’intimité et de disposer de suffisamment de temps [5].

Les facteurs contextuels doivent être demandés dans le cadre d’une évaluation multimodale lors de l’entretien d’anamnèse psychosociale avant le traitement par biofeedback. Les informations provenant de différents questionnaires d’évaluation des troubles oro-faciaux et d’autres instruments d’évaluation constituent une base appropriée. Les dessins de la douleur permettent de se faire une première idée de la localisation, de l’étendue et de l’intensité de la douleur. Des indications sur le schéma de la douleur et les parafonctions (par ex. grincement des dents, morsure des lèvres et des joues, pression de la langue) ou les modulateurs (par ex. mastication d’aliments durs, stress psychologique, forte émotivité) fournissent des listes de contrôle orientées vers les symptômes. Les questionnaires appropriés sont les questionnaires sur les plaintes somatiques (Patient Health Questionnaire 15 ; PHQ-15) et le questionnaire sur les symptômes des troubles temporo-mandibulaires (DC-TMD). Le questionnaire de santé des patients 4 (PHQ-4) fournit des indications sur la dépression et l’anxiété, tandis que le module de stress du PHQ fournit des indications sur le stress psychosocial.

Les résultats préliminaires obtenus constituent une base appropriée pour l’entretien d’anamnèse psychosociale [6]. La pondération des plaintes et l’influence des facteurs contextuels associés apparaissent clairement. Le stress lié au travail et aux relations peut constituer un contexte de vie lourd d’inquiétudes et d’angoisses. En conséquence, le tableau de douleur présenté doit être classé et interprété de manière globale sous la triade symptôme, conflit et biographie. Des liens spécifiques entre les plaintes et la perspective temporelle de leur apparition sont identifiés. Il ressort souvent de l’entretien que les causes de la douleur ne sont pas claires, mais que les émotions ont une influence significative.

Examen clinique et imagerie

L’anamnèse et les résultats antérieurs disponibles permettent de poser un diagnostic de suspicion ou un diagnostic différentiel. En cas de céphalées et de douleurs faciales secondaires, l’examen clinique minutieux permet d’attribuer la douleur à des pathologies dans des tissus spécifiques. En ce qui concerne l’imagerie, deux aspects doivent être pris en compte : Premièrement, les possibilités de visualiser les processus microstructurels impliqués dans la genèse de la douleur sont encore limitées avec les méthodes d’imagerie actuelles. Deuxièmement, l’ampleur des changements structurels n’est pas nécessairement corrélée à la douleur dont on se plaint [7]. Le chapitre 11 de l’ICHD-3 énumère les causes potentielles dans différents tissus des céphalées secondaires : Maladies du crâne ainsi que de la gorge, des yeux, des oreilles, du nez, des sinus, des dents, de la bouche et d’autres structures faciales ou crâniennes [4].

Il s’agit d’évaluer le lien temporel entre l’apparition initiale d’une nouvelle céphalée ou l’aggravation d’une céphalée déjà connue (généralement définie comme une augmentation d’au moins deux fois de la fréquence et/ou de la sévérité) et la maladie d’une des structures mentionnées ci-dessus. En règle générale, une lésion peut être détectée cliniquement, en laboratoire et/ou par imagerie.

L’évaluation clinique commence dès la collecte de l’anamnèse. On observe alors la posture, la démarche, l’agitation motrice générale (mains, doigts, membres inférieurs), le tonus des muscles faciaux (mimique, position de repos de la mâchoire inférieure, mordillement des lèvres, mordillement des ongles, mâchement de chewing-gum) et la symétrie faciale (tuméfaction, défauts tissulaires, épaississement des vaisseaux crâniens).

Pour l’examen, les patients sont placés en position verticale, ce qui permet un mouvement libre de la tête dans toutes les directions. Les patients doivent être informés à l’avance que l’examen a pour but d’identifier les causes de la douleur et qu’il peut donc être douloureux.

La palpation de la région sous- et rétromandibulaire ainsi que du cou permet de détecter d’éventuels gonflements et, le cas échéant, un durcissement des ganglions lymphatiques. Il convient d’y prêter attention, notamment en cas de difficultés à avaler, car elles peuvent être le signe de processus malins au niveau du visage/de la bouche/de la gorge. Ensuite, en fonction des besoins, on vérifie les nerfs crâniens (tableau 1). En cas d’algie vasculaire de la face, une attention particulière est accordée à la fonction du nerf trijumeau (N.V.), car celui-ci innerve sensoriellement l’ensemble du visage, à l’exception de l’angle de la mâchoire (fibres provenant du plexus cervical C2). Les symptômes sensoriels négatifs (hypoesthésies, hypalgésies, anesthésies) et positifs (paresthésies, dysesthésies, allodynies) sont ainsi enregistrés. L’aide médicale est principalement sollicitée en raison des symptômes douloureux. Une lésion, éventuellement un dysfonctionnement des fibres faiblement ou non myélinisées (fibres fines, A-delta, C) peut être évalué en premier lieu à l’aide de tests de Bedside (comme le test PinPrick). Si nécessaire, le test sensoriel dit quantitatif (QST) fournit des informations précises sur l’étendue de la pathologie nerveuse. Lors d’un QST, les seuils de détection et les seuils de douleur sont enregistrés en fonction des stimuli thermiques (froid, chaud, chaleur) et mécaniques (toucher, vibration, piqûre d’aiguille, pression) ainsi que de la sommation des douleurs [8].

 

 

En dehors des douleurs dentaires, les dysfonctionnements temporo-mandibulaires, c’est-à-dire les troubles des muscles de la mastication et de l’articulation temporo-mandibulaire, sont la cause la plus fréquente des douleurs faciales [9]. En même temps, elles sont la deuxième maladie du système musculo-squelettique la plus fréquente (après les douleurs lombaires), entraînant douleurs et handicap [10]. Un protocole standardisé pour le relevé de l’état des muscles masticateurs et de l’articulation temporo-mandibulaire ainsi que des critères de diagnostic ont été publiés pour la première fois en 1992 et révisés en 2014. Il a été publié sous l’acronyme DC-TMD (diagnostic criteria for temporomandibular disorders) [11]. L’étendue de l’ouverture buccale (distance entre les bords incisifs des dents antérieures) est mesurée à l’aide d’une règle et la symétrie du mouvement d’ouverture est évaluée. Ensuite, l’ouverture passive de la bouche est mesurée, c’est-à-dire que l’examinateur aide le patient à ouvrir encore plus la bouche. Selon de larges études de population, l’ouverture minimale de la bouche est de min. 35 mm et déviation maximale de la ligne médiane de la mandibule ≤2 mm. Enfin, l’avancement de la mandibule ainsi que les mouvements latéraux sont mesurés (valeur normale ≥7 mm). En raison de la grande variabilité interindividuelle de la mobilité de la mâchoire, les mesures conviennent surtout à l’observation de l’évolution et moins comme critères absolus pour établir un diagnostic. On note à chaque fois si les mouvements de la mâchoire sont douloureux, où la douleur est localisée et si la douleur de l’examen correspond aux troubles dont on se plaint. Les questions portent sur les bruits émis lors des mouvements de la mâchoire, le type de bruit (craquement, frottement) et si des douleurs sont associées à ces bruits. Les bruits de l’articulation temporo-mandibulaire peuvent également être auscultés à l’aide d’un stéthoscope. Les blocages d’ouverture de la mâchoire et les blocages (difficultés à fermer la bouche) sont également documentés.

Les mesures de mouvement sont suivies par la palpation des muscles masticateurs afin d’identifier l’origine tissulaire de la douleur dont on se plaint. Si une douleur est provoquée par l’examen, on demande aux personnes concernées si la douleur est limitée à la zone palpée ou si elle irradie vers d’autres structures (par ex. l’œil, l’oreille, les dents). Le muscle masséter et les parties du muscle temporal le long de la tempe sont palpés. Selon les directives DC-TMD, une pression d’au moins 1 kg pendant au moins 5 secondes afin de provoquer d’éventuelles transmissions de la douleur vers des structures éloignées. Les articulations temporo-mandibulaires sont palpées de manière comparable depuis l’extérieur, mais avec une pression réduite de 0,5 kg. Enfin, la musculature est palpée au niveau rétromandibulaire et submandibulaire (plancher de la bouche) ainsi qu’intra-oral (muscle ptérygoïdien latéral et insertion du muscle temporal sur le proc. coronoïde). Pour le muscle ptérygoïdien latéral, la palpation s’effectue derrière le tuber maxillaire, les patients poussant la mandibule dans la direction ipsilatérale afin d’avoir suffisamment d’espace pour la palpation (Fig. 1).

 

 

Le processus coronoïde est plus facilement palpable en intra-oral lorsque la bouche est largement ouverte.

En plus des étapes d’examen des lignes directrices DC-TMD, la palpation bidigitale du masséter (pouce intra-oral, autres doigts extra-oraux) s’est avérée efficace. (ill.2) ainsi que la compression et la translation passives et forcées des articulations temporo-mandibulaires se sont avérées utiles pour la procédure de diagnostic. (Fig.3). Alors qu’une main est utilisée pour stabiliser le crâne et palper l’articulation temporo-mandibulaire, la main libre sert à guider le corps de la mandibule en direction crânienne (compression) ou en direction ventrocaudale (translation/traction). Les douleurs de compression indiquent typiquement une inflammation active et érosive de l’articulation temporo-mandibulaire, tandis que les douleurs de translation sont plus caractéristiques des discopathies. Les douleurs de l’articulation temporo-mandibulaire sont souvent accompagnées d’une myalgie des muscles masticateurs et irradient aussi bien dans la mâchoire inférieure que dans la mâchoire supérieure (parfois jusqu’à l’œil). D’un point de vue anamnestique, les patients indiquent souvent une augmentation de l’intensité de la douleur lors de la mastication d’aliments durs, tant pour les étiologies musculaires qu’articulaires. À partir de 50 ans, le diagnostic différentiel doit porter sur une artérite à cellules géantes dont le symptôme principal est ce qu’on appelle la claudication masticatoire. Le diagnostic doit être complété par une mesure de la vitesse de sédimentation.

 

 

 

Lors de l’examen intra-oral, des gonflements, des rougeurs, des fistules ainsi que des douleurs au niveau de la crête alvéolaire indiquent une origine dentaire de la douleur. Les douleurs à la morsure, à la percussion et éventuellement à la pression sont typiques des inflammations aiguës au niveau de l’apex des racines dentaires. Les traces de meulage sur les dents ainsi que les modifications de la muqueuse des joues (appelées ligne intercalaire) et les indentations de la langue sont souvent des signes de parafonctions au sens d’un serrement/grincement des dents ou d’une pression de la langue ainsi que d’une morsure des lèvres. Les parafonctions orales, ainsi que le fait de mâcher du chewing-gum ou de se ronger les ongles quotidiennement, peuvent provoquer des céphalées myogéniques, qui ressemblent aux céphalées de tension [12]. En outre, les fissures de l’émail et les traces de meulage causées par les parafonctions peuvent entraîner une hypersensibilité au froid, au chaud ou à l’acide, que les patients décrivent comme “enfermant”, “perçant” et “attaquant”. La distinction avec la névralgie du trijumeau peut être un défi.

Lien entre le stress, le tonus musculaire, la douleur

Peu de personnes concernées sont conscientes des parafonctions orales. La reproduction de la douleur dont on se plaint lors de l’examen clinique sert donc souvent aux patients de premier indice pour une étiologie musculaire de la plainte. La douleur des muscles masticateurs est un bon moyen d’aborder les tensions musculaires inconscientes liées au stress. La référence à des changements de tonus persistants en cas d’émotions négatives constitue donc un pont vers la thématisation du modèle bio-psycho-social. La démonstration du muscle masséter douloureux dans la région temporale facilite la compréhension du lien entre le stress et les maux de tête. S’y ajoutent souvent des tensions musculaires au niveau des épaules et du cou, et éventuellement des troubles de l’articulation temporo-mandibulaire (bruits, limitation de l’ouverture de la bouche, arthralgie). On peut expliquer aux personnes concernées que des sentiments de surmenage, de perte de contrôle ou de peur de la pression de la réussite empêchent la capacité de se détendre. Ensuite, des techniques de promotion de la relaxation peuvent être présentées. Souvent, l’apprentissage d’une méthode de relaxation facile à mettre en œuvre, de préférence la relaxation musculaire progressive de Jacobson, aide déjà. Le soulagement du système de mastication est possible grâce à l’apprentissage d’une meilleure perception du corps avec une posture relâchée de la mâchoire inférieure. En cas de disponibilité, la méthode de biofeedback est un complément thérapeutique utile, notamment en cas de maux de tête et de douleurs faciales persistants.

Transmission d’informations

Le traitement par biofeedback commence par la transmission d’informations [13]. Les explications portent sur le déroulement du traitement, le contexte théorique et les fonctions corporelles qui en découlent. Un modèle d’explication psychophysiologique doit être élaboré. Le diagnostic porte sur l’augmentation de la tension musculaire dans les muscles de la mâchoire et du visage. Les relations entre la tension musculaire, le stress et la perception des maux de tête et des douleurs faciales sont enregistrées. Les paramètres appropriés sont l’EMG, la température, la conductance cutanée et la fréquence ou l’amplitude du pouls et de la respiration. Les points de prélèvement courants pour l’EMG sont le muscle frontal, le muscle masséter et le muscle trapèze. Il est souligné que le retour d’informations sur les paramètres physiologiques de la tension musculaire, qui n’est souvent pas perçue avec précision, vise à prendre conscience de l’activité musculaire afin d’apprendre à la réduire de manière ciblée (fig. 4). L’amélioration de l’autocontrôle permet d’influer sur les futurs épisodes de douleur. Cela se traduit par une mise à distance de la douleur et une distraction de la douleur.

 

 

Le feedback immédiat démontre au patient que les fonctions corporelles changent en fonction du stress et peuvent être influencées positivement par la détente et l’attention. Cela augmente le sentiment d’efficacité personnelle. Ainsi, les exercices sont considérés comme des éléments de motivation significatifs pour comprendre les mécanismes de la douleur. L’état de douleur est reconnu comme étant diamétralement opposé à la réaction de relaxation. Les résultats de l’entraînement peuvent être rapportés en termes de relaxation de la mâchoire au cours de la séance sous la forme d’activations EMG réduites (en µV). La valeur obtenue lors de la prise attentive d’une position relâchée de la mâchoire inférieure est comparée à la valeur normale de ≤3 µV. Cela correspond à l’activation moyenne lors d’une posture “quotidienne” de la mâchoire inférieure.

Profil de stress

Pour commencer un traitement par biofeedback, il est utile d’établir un profil de stress à des fins de diagnostic du stress. Les réactions psycho-physiologiques peuvent être démontrées de manière claire. L’effort se traduit par une diminution de la circulation sanguine périphérique et centrale, une augmentation de l’activité sympathique et une réduction du vagotonus. Il est possible de répondre à des questions telles que : Quel système corporel réagit le plus clairement au stress psychologique, lequel montre un retard de récupération après un facteur de stress et quel contenu déclenche la réaction physiologique la plus forte chez le patient ?

Différents tests de stress peuvent être utilisés comme facteurs de stress : La capacité à se détendre avant et après un facteur de stress peut être évaluée. Des exercices de mémoire ou de calcul mental (par exemple, “compter à rebours le plus rapidement possible à partir de 2000 par incréments de 17”), des expositions à des bruits, l’imagination de situations problématiques et des tests d’hyperventilation sont utilisés. Ces derniers servent à tester le comportement à l’effort et à corriger ensuite les attributions erronées de causes à des maladies organiques. Démonstration de la manière dont les comportements personnels ou les provocations volontaires génèrent des troubles somatiques (par ex. tension, palpitations cardiaques, vertiges).

Entraînement à la respiration

Le premier exercice de l’école de respiration basée sur le biofeedback est la démonstration de l’influence volontaire sur la fonction respiratoire. L’objectif de l’entraînement expiratoire vers une fréquence cible est de réduire les comportements respiratoires défavorables (Fig. 5). Les situations de stress se caractérisent par une respiration thoracique et scapulaire accrue, ainsi que par une fréquence respiratoire plus élevée avec des pauses respiratoires trop courtes ou absentes. Les patients sont sensibilisés à la gestion consciente de la respiration avec une technique respiratoire correcte en ce qui concerne les aspects suivants : Augmentation de la profondeur de la respiration (amplitude respiratoire), diminution de la fréquence respiratoire (moins de 8 bouffées par minute), renforcement de la respiration abdominale détendue avec réduction de la respiration thoracique et des épaules, optimisation du rapport temps de respiration en allongeant la phase expiratoire (inspiration normale avec un temps d’expiration deux fois plus long) et en augmentant les pauses entre l’inspiration et l’expiration.

 

 

Pour s’entraîner à un modèle de respiration plus rond et apaisé, avec une respiration lente et profonde, il convient de donner le rythme respiratoire optimal. Le rythme respiratoire défavorable du patient est représenté par le motif ondulatoire d’un poisson qui nage. L’objectif de l’exercice est d’aligner son propre rythme respiratoire sur le rythme optimal en utilisant le principe du pacing. Le patient doit “tracer” le modèle optimal aussi bien que possible avec la courbe respiratoire.

Maux de tête primaires

Pour les maux de tête primaires tels que les céphalées de tension, les algies faciales atypiques et les migraines, le biofeedback est considéré comme le traitement non médicamenteux le plus efficace contre les maux de tête [14]. Une méta-analyse de 55 études [15] a mis en évidence de manière exhaustive les facteurs d’efficacité dans les thérapies par biofeedback pour les migraines. Des effets robustes, moyens et stables ont été démontrés en ce qui concerne l’amélioration à long terme et durable des symptômes dans le cas de douleurs fortement chroniques. Les améliorations concernaient la fréquence et la durée des crises de migraine, l’intensité de la douleur, la consommation de médicaments et des variables psychologiques telles que la dépressivité, l’anxiété et le sentiment d’efficacité personnelle. Les prédicteurs de succès étaient la combinaison avec des exercices à domicile ainsi que le sexe féminin et le jeune âge. Parmi les recommandations de traitement de la migraine, l’accent est clairement mis sur le feedback de volume et de pulsation et le feedback de température en extension avec la relaxation. Le moment de l’utilisation du contrôle vasculaire acquis constitue un aspect important du succès de l’entraînement par biofeedback. En prophylaxie, la vasodilatation doit être utilisée pendant les périodes sans douleur pour gérer le stress. La vasoconstriction est efficace juste avant ou pendant les crises de migraine.

Muscles du visage

L’entraînement ciblé de la musculature faciale peut être réalisé au moyen de la relaxation musculaire progressive de Jacobson. Le principe de la contraction et du relâchement systématiques de différents muscles est mis en œuvre. Les objectifs de l’exercice sont de réduire les tensions dans la région du front et de la mâchoire. Des niveaux de tension prédéfinis (seuils : 3, 9, 20 μV) doivent être atteints successivement par la contraction et le relâchement du front et de la mâchoire. Il s’agit d’observer attentivement la tension et le relâchement musculaires et d’être attentif aux différentes sensations de tension et de relâchement. Le mode de feed-back consiste à récompenser la réussite des valeurs prédéfinies en faisant apparaître un nénuphar.

En cas de troubles temporo-mandibulaires et de bruxisme, un entraînement ciblé de la discrimination des muscles de la mâchoire est approprié : différents niveaux de tension sont entraînés pour différentes lignes de pré-fourchette à des niveaux de tension décroissants (22, 17, 12, 7 μV). Il y a des phases d’exercice avec des phases à l’aveugle, les yeux fermés. La consigne est la suivante : “Dans ce qui suit, vous allez d’abord apprendre à ‘tracer’ un motif de fond donné avec la tension de votre mâchoire. La ligne indique la tension de votre mâchoire. Derrière la ligne de votre tension musculaire actuelle, vous voyez un modèle de ligne prédéfini. Vous devez trouver une position qui entraîne le déplacement de la ligne vers le bas. Activez votre tension musculaire de manière à ce qu’elle suive la ligne prédéfinie. Observez la sensation de cette tension. Respirez calmement et régulièrement”. L’instruction “contracter – relâcher” est énoncée. Dans la phase à l’aveugle, le même modèle doit être reproduit les yeux fermés. La tension musculaire exercée précédemment doit être reproduite au même rythme. Il faut se souvenir de la sensation musculaire perçue précédemment.

Musculature des épaules et du cou

Pour réduire l’implication des muscles des épaules et du cou et développer la respiration abdominale, la relaxation respiratoire et musculaire guidée est recommandée. Il est expliqué que la mauvaise respiration permanente, avec une implication marquée des muscles des épaules et du cou dans le comportement respiratoire, entraîne des tensions chroniques dans cette zone. Ces tensions sont visibles dans les valeurs EMG élevées du muscle trapèze. Les modes de feedback sont des représentations linéaires (d’abord les valeurs EMG des muscles de l’épaule, puis le comportement respiratoire, et enfin les deux). Les instructions portent sur une respiration abdominale calme et régulière. Il est important que la paroi abdominale se soulève et s’abaisse pendant la respiration et que la cage thoracique et les épaules restent aussi détendues que possible.

Pour réduire la participation des muscles des épaules et du cou et développer la respiration abdominale, l’école de respiration avec contrôle EMG et relaxation des épaules est appropriée : on apprend à maintenir l’activité des muscles des épaules en dessous d’un certain seuil. Un dépassement est le signe d’une implication marquée des muscles de l’épaule dans la respiration. Il est conseillé de respirer sans utiliser les épaules. Dans la partie supérieure de l’écran, une courbe est visible, qui reflète la respiration abdominale du moment. Dans la moitié inférieure de l’écran, la tension musculaire des épaules est représentée par une ligne. Une respiration abdominale calme doit être obtenue.

Pour terminer une thérapie par biofeedback, il est recommandé d’effectuer un voyage de relaxation avec une vidéo de la côte, une musique de relaxation et un niveau de relaxation lisible simultanément, avec une récompense si le niveau est inférieur à un seuil.

Conclusion

Le diagnostic différentiel des céphalées/douleurs faciales nécessite la connaissance d’un large éventail de pathologies relevant de différentes spécialités médicales. Les troubles liés à l’appareil locomoteur de la mâchoire se caractérisent par une prévalence élevée et peuvent être identifiés grâce à un examen minutieux. Il est aujourd’hui difficile d’imaginer un traitement sans l’utilisation du biofeedback pour contrôler et influencer les douleurs faciales et les maux de tête. Il a été démontré que le biofeedback augmente l’efficacité des méthodes de relaxation courantes. Comme pour toutes les méthodes, l’efficacité ne se manifeste qu’après une certaine période de pratique. Les patients doivent toujours être guidés pour s’exercer régulièrement chez eux à l’aide d’instructions de relaxation qui leur sont remises. Cela permet de prendre de la distance par rapport à la douleur et, en général, de mieux la gérer. L’intégration consciente de la détente et des phases de régénération dans le déroulement de la journée est d’une grande utilité pour ces types de plaintes afin d’augmenter l’efficacité personnelle.

Messages Take-Home

  • Les dysfonctionnements temporo-mandibulaires constituent une pathologie fréquente.
  • L’étendue des modifications structurelles de l’articulation temporo-mandibulaire n’est que partiellement corrélée à l’intensité de la douleur.
  • Le biofeedback est un élément de soutien très efficace dans le cadre d’interventions de psychologie de la douleur pour les maux de tête et les douleurs faciales.
  • Le biofeedback augmente l’efficacité des méthodes de relaxation courantes (par ex. la relaxation musculaire progressive de Jacobson) grâce à une augmentation prouvée de la motivation des patients.
  • Le biofeedback a une acceptation élevée et prouvée par les patients.

 

Littérature :

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  13. Brenz M : Évaluation d’une intervention cognitivo-comportementale assistée par biofeedback pour les acouphènes chroniques. Tübingen 2008.
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  15. Nestoriuc Y, Martin A : Efficacité du biofeedback pour la migraine : une méta-analyse. Douleur 2007 ; 128 : 111-127.

 

InFo DOULEUR & GERIATRIE 2019 ; 1(1) : 10-15

Autoren
  • Dr. med. dent. Aleksandra Zumbrunn Wojczynska
  • Dr. Manuela Brenz
  • PD Dr. Dr. Dominik Ettlin
Publikation
  • InFo RHEUMATOLOGIE
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