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  • Maladie de Parkinson

Réduction nette des fluctuations motrices grâce à l’opicapone

    • Neurologie
    • RX
  • 10 minutes de lecture

Des fluctuations motrices apparaissent chez de nombreux patients atteints de la maladie de Parkinson après plusieurs années de traitement. La durée de ces épisodes non contrôlables de variabilité de la motricité peut être significativement réduite par un traitement adjuvant par l’opicapone, un inhibiteur de la COMT. Des spécialistes renommés ont présenté un certain nombre d’études actuelles dans le cadre d’un symposium lors du congrès virtuel qui a rassemblé des neurologues de toute l’Europe (EAN). 

Après un traitement par la lévodopa pendant de nombreuses années, l’efficacité peut diminuer dès la prise suivante prévue. Au cours de cette phase de wearing­off, les symptômes caractéristiques de la maladie de Parkinson se multiplient. En outre, des phases de bonne mobilité (phases on) alternent soudainement avec des phases d’akinésie (phases off). La fréquence des événements de ce type augmente avec la durée de la maladie. Des fluctuations motrices peuvent survenir également lors des phases précoces de la maladie (< 2,5 ans), mais elles ne sont souvent pas diagnostiquées comme telles, a affirmé le Pr Fabrizio Stocchi du Centre de prise en charge de la maladie de Parkinson de San Raffaele de Rome (Italie) dans le cadre d’un symposium de la société BIAL lors du congrès de l’EAN1. 

Interroger les patients à la manière d’un détective

« En tant que neurologues, nous devons procéder comme des détectives et poser certaines questions aux patients sur leurs capacités motrices et l’effet des médicaments, afin de déceler les fluctuations », a conseillé la Drsse Monica Kurtis du Clinical Motor Physiology Laboratory de New York (États-Unis) [TABLE 1]. À cet effet, des questionnaires spécifiques sont à disposition (movementdisorders.org). En outre, les patients doivent être informés des phénomènes on et off, des fluctuations motrices et des dyskinésies. Les vidéos et la tenue d’un journal du patient sont très utiles. La Pr Francesca Morgante de la St. George’s University of London (Royaume-Uni) a donné des informations sur les évolutions futures. Les symptômes de la maladie de Parkinson, y compris les fluctuations motrices, pourraient ainsi être enregistrés automatiquement 24h/24 au moyen de bracelets connectés spéciaux2, 3.

[TABLE 1] Questions clés permettant l’identification des fluctuations motrices
Vos capacités motrices varient-elles au cours de la journée?
Y a-t-il des moments de la journée où les symptômes s’améliorent ou s’aggravent?
Souffrez-vous par moment de tremblements ou de dyskinésies?
Remarquez-vous après un certain temps une diminution de l’effet médicamenteux ou des effets positifs apparaissent-ils après la prise du médicament?
Quand l’effet des médicaments se fait-il sentir?
Que se passe-t-il si vous oubliez de prendre vos comprimés?
Que se passe-t-il si vous oubliez de prendre vos comprimés?
Comment vous sentez-vous la nuit?
Comment vous sentez-vous après le réveil et le lever? Comment évaluez-vous votre mobilité?
Avez-vous, en particulier le matin, des contractions musculaires douloureuse?

Diversité des options thérapeutiques

Selon quelle stratégie les patients présentant des fluctuations motrices doivent-ils être pris en charge ? Il est important dans un premier temps de déterminer les objectifs principaux d’un traitement, a ­expliqué le Pr Joaquim Ferreira de l’Université de Lisbonne (Portugal). À savoir, retarder la progression de la maladie, éviter ses complications, réduire les phases off, prolonger les phases on, et dans la mesure du possible, améliorer les tremblements, l’épuisement et les états anxieux. Aujourd’hui, on dispose d’un nombre important de possibilités thérapeutiques : administration complémentaire d’un agoniste dopaminergique, passage à un autre inhibiteur de la MAO-B, administration complémentaire d’un inhibiteur de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT), passage à la lévodopa à libération lente, augmentation de la posologie de lévodopa et / ou raccourcissement de l’intervalle posologique, administration d’amantadine ou d’un anticholinergique en complément. Toutes ces options thérapeutiques dépendent de l’âge, du statut de la maladie et de l’état général des patients parkinsoniens. Quelle est la meilleure des stratégies ? « Nous ne le savons pas exactement. La prise de décision dépend de l’efficacité et de la sécurité des différentes options thérapeutiques et des considérations pratiques », selon le Pr Ferreira.

Augmenter la demi-vie de la lévodopa

Afin d’obtenir une stimulation dopaminergique, dans la mesure du possible en continu, l’ajout d’autres médicaments en association avec la lévodopa est une possibilité. Les inhibiteurs de la COMT bloquent la dégradation de la lévodopa au niveau périphérique et augmentent ainsi sa demi-vie. Un problème de sécurité se pose concernant la toxicité hépatique de la tolcapone, a expliqué le Pr Ferreira4. L’entacapone induit une réduction du temps passé en phase off d’environ 40 minutes par rapport au placebo ; cette réduction atteint même près d’une heure avec l’opicapone (Ongentys®)5- 7. L’opicapone peut également nettement simplifier le traitement : alors que jusqu’à 10 comprimés (à 200 mg) d’entacapone doivent être pris quotidiennement, la dose recommandée d’opicapone est de 50 mg 1 fois par jour avant le coucher, et ce, au moins 1 h avant ou après le traitement à base de lévodopa8, 9. De plus, l’opicapone provoque rarement des diarrhées (<1,5%) et une coloration de l’urine ne survient jamais sous opicapone10.

Réduction significative du temps ­passé en phase off

Trois posologies différentes d’opicapone ont été comparées à l’entacapone et à un placebo dans le cadre de l’étude randomisée de phase III BIPARK-I, incluant près de 600 patients parkinsoniens souffrant de fluctuations motrices6. L’étude a révélé que l’opicapone (50 mg) était significativement supérieure non seulement à deux posologies plus faibles d’opicapone (5 et 25 mg), mais aussi au placebo en termes de réduction du temps passé en phase off. Alors que la réduction du temps moyen passé en phase off était de -116,8 minutes pour l’opicapone (50 mg), elle était de -96,3 minutes pour l’entacapone et de -56 minutes pour le placebo. « Cela représente un gain net d’au moins 1 h par jour par rapport au placebo, ce qui est important pour nos patients », a expliqué le Pr Heinz Reichmann de la Clinique universitaire de Dresde (Allemagne). Les effets indésirables les plus fréquents étaient les dyskinésies chez 16% des patients du groupe traité par 50 mg d’opicapone, ces effets pouvant être facilement contrecarrés par une réduction de la dose de lévodopa, selon l’expert6, 11. La constipation (6%) et l’insomnie (6%) ont été également observées dans une moindre mesure. Globalement, l’opicapone est toutefois une substance bien tolérée, a expliqué l’intervenant6, 12.

De meilleurs résultats aux stades précoces de la maladie

De nouvelles analyses de sous-groupes ont révélé que la réduction du temps passé en phase off était plus importante lorsque les fluctuations motrices étaient survenues récemment (≤1 an, c.-à-d. chez des patients plutôt jeunes) que lorsqu’elles étaient apparues depuis longtemps13. Le fait qu’également un traitement adjuvant de première intention par l’opicapone induise une réduction du temps passé en phase off de presque deux heures (-109,2 minutes vs. placebo -40,3 minutes) est prometteur, a affirmé le Pr Reichmann [TABLE 2]14. Les taux de dyskinésies sont également plus faibles lorsque l’opicapone est utilisée aux stades précoces de la maladie que lorsqu’elle est instaurée lors de phases plus tardives13. Des améliorations du temps passé en phase off sous opicapone sont observées aussi bien avec des posologies élevées (500 à 600 mg/jour) qu’avec des posologies plus faibles (300 à 400 mg/jour) de L-dopa15. Fait intéressant : l’effet des divers inhibiteurs de la COMT varie en fonction du moment de la journée. Une réduction importante du temps passé en phase off a été constatée tôt le matin dans le cadre d’une analyse16. Contrairement aux patients sous entacapone, ceux qui étaient traités par l’opicapone présentaient un « profil du temps passé en phase off tôt le matin » moins prononcé et un « profil du temps passé en phase on » intervenant plus vite. « Ce contrôle plus rapide des symptômes illustre parfaitement le fait qu’il peut s’avérer profitable de traiter les patients par l’opicapone ou d’envisager un changement de médicament », selon le Pr Reichmann.

[TABLE 2] L’opicapone : un traitement adjuvant de première intention efficace chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson traitées par la lévodopa présentant des fluctuations motrices de fin de dose14

Bibliographie
  1. Stocci F, et al.: Early DEtection of wEaring off in Parkinson disease: the DEEP study. Parkinsonism Relat Disord 2014; 20(2): 204- 211. 
  2. Maetzler W, et al.: Modernizing Daily Function Assessment in Parkinson’s Disease Using Capacity, Perception, and Performance Measures. Mov Disord 2021; 36(1): 76 - 82.
  3. Silva de Lima AL, et al.: Home-based monitoring of falls using wearable sensors in Parkinson’s disease. Mov Disord 2020; 35(1): 109 -115.
  4. Information professionnelle de Tasmar.
  5. Fabbri M, et al.: Opicapone for the treatment of Parkinson’s disease: A review of a new licensed medicine. Mov Disord 2018; 33(10): 1528-1539.
  6. Ferreira JJ, et al.: Opicapone as an adjunct to levodopa in patients with Parkinson’s disease and end-of-dose motor fluctuations: a randomised, double-blind, controlled trial. Lancet Neurol 2016; 15(2): 154-165.
  7. Deane KHO, et al.: Catechol-O-methyltransferase inhibitors for levodopa-induced complications in Parkinson’s disease. Cochrane Database Syst Rev 2004; (4): CD004554.
  8. Information professionnelle de Comtan® (entacapone), swissmedicinfo.ch. Mise à jour de l’information : novembre 2019.
  9. Information professionnelle d’Ongentys® (opicapone), swissmedicinfo.ch. Mise à jour de l’information : juillet 2020.
  10. Ferreira JJ, et al.: Effectiveness of opicapone and switching from entacapone in fluctuating Parkinson disease. Neurology 2018; 90(21): e1849 -e1857. 
  11. Lees A, et al.: Safety Profile of Opicapone in the Management of Parkinson’s Disease. J Parkinson Dis 2019; 9 (4): 733-740.
  12. Lees A, et al.: Opicapone as Adjunct to Levodopa Therapy in Patients With Parkinson Disease and Motor Fluctuations. A Randomized Clinical Trial. JAMA Neurol 2017; 74(2): 197-206.
  13. Ebersbach G, et al.: Efficacy and Safety of Opicapone in Parkinson’s Disease Patients According to Duration of Motor Fluctuations: Post-Hoc Analysis of BIPARK-I and II. Présenté lors du 6ème Congrès de l’Académie européenne de neurologie (EAN), Paris, France, du 23 au 26 mai 2020.
  14. Ferreira J, et al.: Opicapone as First-Line Adjunctive Levodopa Treatment in Parkinson’s Disease Patients with Motor Fluctuations: Findings from BIPARK-I and II Combined Post-Hoc Analysis. Poster présenté lors du Congrès international 2020 sur la maladie de Parkinson et les troubles du mouvement (Congrès virtuel MDS), du 12 au 16 septembre 2020.
  15. Le Witt P, et al.: Opicapone effect at different levodopa regimens up to 600 mg/d threshold in Parkinson’s patients and motor fluctuations. Eur J Neurol 2021; 28(Suppl. 1): 906. EPO-748.
  16. Videnovic A, et al.: Effect of opicapone and entacapone on early morning-OFF pattern in Parkinson’s disease patients with motor fluctuations. Mov Disord 2020; 35(1): 486, paragr. 1071.

 

Information Professionnelle abrégée Ongentys®
 
Ongentys® (opicapone) gélules dosées à 50 mg. Opicapone est un inhibiteur périphérique, sélectif et réversible de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT). Indications : Ongentys est indiqué en association aux préparations à base de lévodopa/d’inhibiteurs de la DOPA décarboxylase (IDDC) comme traitement chez les patients adultes souffrant de la maladie de Parkinson et présentant des fluctuations motrices de fin de dose, non stabilisés sous ces associations. Posologie/mode d’emploi : La dose recommandée d’opicapone est de 50 mg une fois par jour au coucher, au moins une heure avant ou après le traitement à base de lévodopa. L’opicapone accroît les effets de la lévodopa. Il est donc souvent nécessaire d’ajuster la posologie de lévodopa au cours des jours ou semaines suivant l’instauration du traitement par opicapone. Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients âgés. Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les insuffisants rénaux étant donné que l’opicapone n’est pas éliminé par voie rénale. Ongentys n’est pas recommandé chez les patients souffrant d’insuffisance hépatique ou de cirrhose hépatique (classes de Child-Pugh A, B, C). Contre-indications : Phéochromocytome, paragangliome ou autres néoplasmes sécrétant des catécholamines. Antécédents de syndrome malin des neuroleptiques et/ou de rhabdomyolyse non traumatique. L’utilisation concomitante d’inhibiteurs de la monoamine oxydase (MAO-A et MAO-B) autres que ceux utilisés dans le traitement de la maladie de Parkinson et hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients. Mises en garde et précautions : Ajustements posologiques du traitement antiparkinsonien : Ongentys doit être administré en association au traitement par lévodopa. Les précautions s’appliquant au traitement par lévodopa doivent donc aussi être prises en compte pour Ongentys. L’opicapone accroît les effets de la lévodopa. Afin de réduire les effets indésirables dopaminergiques liés à la lévodopa, il est souvent nécessaire d’ajuster la dose journalière de lévodopa en augmentant les intervalles entre les doses et/ou en diminuant la quantité de lévodopa par dose au cours des jours ou semaines suivant l’instauration du traitement par Ongentys, en fonction de l’état clinique du patient. Affections psychiatriques : des troubles du contrôle des impulsions peuvent survenir chez les patients recevant des agonistes dopaminergiques et/ou d’autres traitements dopaminergiques. Autres : des augmentations d’enzymes hépatiques ont été rapportées dans des études portant sur des inhibiteurs de type nitrocatéchol de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT). Un examen médical général, y compris de la fonction hépatique, doit être envisagé chez les patients souffrant d’anorexie, d’asthénie et de baisse de poids d’apparition progressive au cours d’une période relativement brève. Une gélule contient du 148 mg de lactose et moins de 1 mmol (23 mg) de sodium. Interactions : Effets de Ongentys sur d’autres médicaments : Médicaments métabolisés par la COMT : l’opicapone peut interférer avec le métabolisme de médicaments contenant un groupe catéchol qui sont métabolisés par la COMT (p. ex. rimitérole, isoprénaline, adrénaline, noradrénaline, dopamine, dopexamine ou dobutamine) et ainsi renforcer les effets de ces médicaments. Une surveillance étroite des patients suivant un traitement par ces médicaments est recommandée en cas d’utilisation d’opicapone. Inhibiteurs de la monoamine oxydase (MAO) : l’association d’opicapone et d’inhibiteurs de la MAO peut entraîner l’inhibition de la majorité des voies de métabolisme des catécholamines. L’utilisation concomitante d’opicapone et d’inhibiteurs de la MAO pour traiter la maladie de Parkinson, tels que la rasagiline (jusqu’à 1 mg/jour) et la sélégiline (jusqu’à 10 mg/jour en cas de formulation orale ou 1,25 mg/jour en cas de formulation pour absorption buccale) est autorisée. Il n’y a aucune expérience relative à l’utilisation concomitante d’opicapone et de l’inhibiteur de la MAO-B safinamide. Antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs de la recapture de noradrénaline : l’expérience relative à l’utilisation concomitante d’opicapone et d’antidépresseurs tricycliques ou d’inhibiteurs de la recapture de noradrénaline est limitée. Données in vitro : dans des études in vitro sur des microsomes hépatiques humains, une inhibition mineure de CYP1A2 et de CYP2B6 a été observée. L’opicapone inhibe l’activité de CYP2C9. Aucune interaction n’est attendue avec les transporteurs OAT1, OAT3, OATP1B3, OCT1, OCT2, BCRP, P-gp/MDR1, BSEP, MATE1 et MATE2-K. L’opicapone est un faible inhibiteur in vitro du CYP2C8 et de l’OATP1B1. Données cliniques : Répaglinide : le répaglinide est un substrat sensible du CYP2C8 et de l’OATP1B1. Une étude menée chez des sujets sains a montré que, à l’état d’équilibre, l’opicapone 50 mg n’avait pas d’effet sur l’exposition systémique du répaglinide. Warfarine : après une co-administration de doses multiples de 50 mg d’opicapone et d’une dose unique de 25 mg de warfarine, la Cmax de la warfarine S et R (substrats de la CYP2C9, 3A4 et 1A2) est restée inchangée. Effets d’autres médicaments sur Ongentys : Quinidine : une étude menée chez des volontaires sains a montré que lorsqu’une dose unique de 50 mg d’opicapone était administrée en même temps (dans un intervalle d’une heure) qu’une dose unique de quinidine (600 mg), l’exposition systémique de l’opicapone a baissé de 37% (AUC0-tlast). Par conséquent, une attention particulière doit être accordée dans le cas où des inhibiteurs de P-gp doivent être administrés en même temps que l’opicapone, car l’administration concomitante doit être évitée. Catégorie de remise : [B]. Titulaire de l’autorisation: Bial SA, Nyon. Mise à jour de l’information : Juillet 2020.
 
Pour plus d’informations, merci de vous reporter à l’Information Professionnelle à l’adresse  www.swissmedicinfo.ch.
 
 
Impressum

Ce rapport a été réalisé grâce au soutien financier de la société BIAL SA.

Rapport : Dr Klaus Duffner 

Source : Symposium satellite «Motor fluctuation management: now and what next?», congrès virtuel de l’EAN 2021, 20 juin 2021. Organisateur : BIAL SA.

Information professionnelle abrégée d’Ongentys®

Bial-ON/JUL21/CH/202

Première parution dans BrainMag 2021; 4: 80-81.

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  • 3
    Approches actuelles et futures dans le traitement de la sclérose latérale amyotrophique (SLA)
  • 4
    Sarcopénie et malnutrition dans le cadre de la réadaptation pneumologique
  • 5
    Perspectives médicales et psychosociales

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