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  • Activité physique et sport pour la maladie de Parkinson

L’activité physique régulière réduit la mortalité des patients atteints de la maladie de Parkinson

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    • RX
  • 8 minutes de lecture

Les patients atteints de la maladie de Parkinson présentent souvent une faiblesse musculaire qui est aggravée par le manque d’exercice. Cela augmente le risque d’ostéoporose, de chutes et de fractures. L’activité physique et sportive peut contribuer à améliorer la marche et l’équilibre des patients atteints de la maladie de Parkinson et réduit également la mortalité. Les sports d’endurance tels que la marche nordique, la natation, la danse ou le vélo (y compris le home-trainer) sont les plus utiles.

Le syndrome parkinsonien idiopathique (SPI) est une maladie neurodégénérative progressive définie cliniquement par les quatre symptômes cardinaux suivants : hypokinésie, rigidité, tremblements et instabilité posturale. L’âge est le principal facteur de risque de l’IPS, dont la prévalence est de 0,3% dans la population générale et de 1 à 2% chez les plus de 65 ans. Le corrélat neuropathologique de la symptomatologie motrice est la destruction des cellules productrices de dopamine dans la substantia nigra du tronc cérébral. Cette constatation a été à la base du traitement dopaminergique, avec d’abord la L-Dopa, précurseur de la dopamine, puis les agonistes dopaminergiques à action post-synaptique. Ces médicaments ont un effet symptomatique, aucun effet de prévention ou de retardement de la maladie, c’est-à-dire un effet neuroprotecteur des dopaminergiques, n’a été démontré à ce jour.

Avec la progression de la maladie sous traitement par L-Dopa, une perte d’efficacité et des complications motrices apparaissent (dyskinésies, phénomène on-off). Les agonistes dopaminergiques sont moins efficaces que la L-dopa ; utilisés à un stade précoce, ils peuvent réduire les dyskinésies, mais ont des effets secondaires neuropsychiatriques chez les personnes âgées et lorsque la maladie se prolonge.

Symptômes non moteurs

Outre les symptômes moteurs, le SPI présente également un certain nombre de symptômes non moteurs (troubles du sommeil, anxiété, dépression, constipation, hyposmie, hallucinations, démence). Ils sont dus à la dégénérescence de structures autres que la substantia nigra et répondent moins bien, voire pas du tout, à la médication dopaminergique. Ce sont précisément ces symptômes non moteurs qui sont considérés par les personnes concernées comme particulièrement handicapants en termes de qualité de vie. Les troubles du sommeil, la dépression et l’anxiété apparaissent souvent avant les symptômes moteurs. Les hallucinations et la démence sont souvent des causes de placement en maison de retraite aux stades avancés de la maladie.

Cette multitude de symptômes variés et croissants crée un tableau complexe qui affecte la qualité de vie et peut être considéré comme un vieillissement prématuré, avec un déclin des fonctions motrices et cognitives.

Quels sont les effets de l’activité physique ?

Intuitivement, on pense que l’activité physique est une approche thérapeutique importante dans le SPI, d’autant plus au vu des problèmes de pharmacothérapie mentionnés. En particulier, les questions de savoir si l’activité physique et le sport ont un effet préventif ou neuroprotecteur, et quel type d’activité physique est utile et dans quelle mesure, préoccupent les patients et les soignants de différentes disciplines.

Faiblesse musculaire, manque d’exercice et ostéoporose

Les patients atteints de la maladie de Parkinson présentent une faiblesse musculaire par rapport aux personnes saines, caractérisée par une diminution de la sélectivité du recrutement musculaire et un ralentissement [1]. En cas d’interruption de la médication dopaminergique (état “off”), la force musculaire est réduite par rapport à l’état avec médication (état “on”). Des études neurophysiologiques suggèrent que le globus pallidus interne (la zone cible des neurones dopaminergiques de la substantia nigra) exerce un effet de focalisation sur le mouvement et d’inhibition des agonistes pendant les mouvements [2]. L’EEG des patients atteints de SPI révèle une activité réduite dans les zones prémotrices du cerveau, responsables de la planification des mouvements [2]. Cette bradykinésie d’origine centrale peut entraîner une diminution progressive de l’activité physique des patients atteints de la maladie de Parkinson.

La diminution de l’activité physique augmente le risque d’ostéoporose chez les personnes atteintes de SPI [3]. La densité osseuse du fémur est diminuée chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, ce qui multiplie par trois l’incidence des fractures de la hanche par rapport aux personnes en bonne santé [2]. La prévalence de la carence en vitamine D est également significativement plus élevée chez les IPS [4]. Des études thérapeutiques avec des bisphosphonates et une substitution en vitamine D ont démontré une augmentation de la densité osseuse et une réduction du risque de fracture de la hanche après deux ans de traitement [5]. Pour traiter l’ostéoporose, facteur de risque supplémentaire de fracture en cas de chute, il est recommandé de prescrire des bisphosphonates et de la vitamine D aux patients atteints de la maladie de Parkinson, ainsi que de pratiquer une activité physique.

L’activité physique réduit le risque de SPI

Des études prospectives ont démontré que l’activité physique à l’âge adulte a un effet protecteur sur le risque de développer ultérieurement la maladie de Parkinson [6–8]. Il convient de noter que ces études ne permettent pas d’exclure une causalité inverse : Les patients atteints de la maladie de Parkinson pourraient être moins actifs physiquement dès la phase prémotrice en raison d’un comportement d’évitement du mouvement [6]. L’activité physique réduit également le risque de mortalité chez les patients atteints de la maladie de Parkinson [9].

L’activité physique est-elle neuroprotectrice ?

Des travaux chez l’animal ont mis en évidence, lors d’une activité physique accrue, une stimulation de la synthèse cérébrale de dopamine, une augmentation des taux de facteurs neurotrophiques favorisant la plasticité, ainsi qu’une augmentation significative des neurones et axones dopaminergiques dans le système nigrostriatal [6]. En ce qui concerne les données disponibles chez l’homme, le nombre d’études de bonne qualité ayant évalué l’efficacité du renforcement musculaire dans les SPI est faible, avec une grande hétérogénéité des protocoles thérapeutiques utilisés. Les modifications de la médication au cours de l’étude, la durée trop courte de l’étude par rapport à la lente progression de la maladie et l’absence de biomarqueur pour la progression de la maladie compliquent l’évaluation de ces études en ce qui concerne un éventuel effet neuroprotecteur.

Bien que ces limites existent, plusieurs auteurs concluent que, malgré l’absence de preuve d’un retardement de la progression de la maladie par l’activité physique, un effet neuroprotecteur de l’activité physique dans le SPI semble plausible à partir de l’ensemble des données [2,6,7].

Recommandations sur l’intensité de la formation

Il n’existe pas de consensus dans la littérature concernant l’intensité de l’activité physique. Ahlskog demande que les activités qui augmentent la fréquence cardiaque, et donc la consommation d’oxygène, soient pratiquées pendant une durée suffisante (20 à 30 minutes), régulièrement et sur une longue période [6]. Les exemples cités sont la marche rapide, le jogging, le vélo, la danse intensive et la natation, mais aussi des activités telles que passer l’aspirateur ou pelleter. Falvo et ses collaborateurs proposent un entraînement de renforcement musculaire planifié et encadré par un thérapeute, à une fréquence de deux à trois fois par semaine au début, puis de quatre à cinq fois par semaine au fil de l’évolution [2]. Le programme se compose d’exercices concentriques et excentriques, avec 8 à 12 répétitions chacun et des pauses suffisantes entre les séances.

Thérapie par le mouvement symptomatique/physiothérapie

En cas de problèmes moteurs manifestes tels que des troubles de la marche, des blocages, des problèmes d’équilibre, des troubles de la posture, ainsi que pour conseiller et instruire sur les moyens auxiliaires, la physiothérapie est généralement utilisée chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. Il est important de procéder à une analyse initiale du problème, avec une évaluation des fonctions pertinentes et une définition de l’objectif thérapeutique, afin d’obtenir une amélioration pertinente pour la vie quotidienne en fonction du problème et des besoins individuels du patient. En cas de problèmes d’équilibre accompagnés de chutes fréquentes, il convient d’analyser la cause de la chute, d’effectuer une évaluation à l’aide, par exemple, de l’échelle d’équilibre en montagne et, le cas échéant, d’analyser la démarche. Il est possible d’en déduire les mesures à prendre, par exemple un entraînement spécifique à la marche et un renforcement musculaire, éventuellement une adaptation de la médication ou l’utilisation de moyens auxiliaires. Si le freezing est reconnu comme une cause de chute, il peut être utile d’enseigner des stratégies possibles (comptage, canne laser, métronome ou autre). En revanche, en cas de chutes dues à l’orthostatisme, une révision de la médication avec réduction des antihypertenseurs, utilisation d’antihypotoniques et de bas de contention (classe II) peut s’avérer efficace. En cas de diminution importante du contrôle postural, les stratégies compensatoires sont généralement moins efficaces et l’accent est souvent mis sur l’utilisation d’aides techniques (déambulateur, protège-hanches ou fauteuil roulant).

Une méta-analyse Cochrane publiée en 2013 a montré un effet faible mais significatif et pertinent au quotidien de la kinésithérapie par rapport au placebo ou à l’absence de traitement dans le cas de l’IPS [10]. Les paramètres évalués étaient la capacité de marche (vitesse, test de marche de 6 minutes, Freezing of gait Questionnaire, Timed up and go Test), l’équilibre (Functional Reach Test, Berg Balance Scale) et l’évaluation du handicap par le médecin traitant à l’aide de l’UPDRS (Unified Parkinson Disease Rating Scale). En revanche, aucune différence n’a été observée en ce qui concerne la fréquence des chutes et l’évaluation de la qualité de vie par les patients à l’aide du questionnaire PDQ-39.

Quels sont les types d’activité physique et de sport appropriés ?

Les patients atteints de SPI qui n’étaient pas physiquement actifs jusqu’à présent devraient être conseillés et motivés pour pratiquer un type d’exercice suffisamment actif et adapté à leurs besoins, à une fréquence d’au moins trois à quatre fois par semaine pendant 30 minutes. Outre un programme d’entraînement individuel, tel qu’il est généralement enseigné en physiothérapie, le jogging, la marche nordique, la natation et le vélo (éventuellement sur un home-trainer) sont des activités favorables.

Dans une étude publiée en 2012, Li et ses collaborateurs ont montré que le tai chi permettait d’améliorer la marche et l’équilibre et de réduire les chutes par rapport à la musculation et aux exercices d’étirement [11]. Parkinson Suisse propose des cours de tai-chi à différents endroits.

Les cours de tango constituent une forme alternative d’activité physique également proposée par Parkinson Suisse. Dans une étude, les patients qui ont dansé le tango une heure par semaine pendant 12 mois ont montré une amélioration significative de la marche et de l’équilibre par rapport aux patients non actifs [12].

Messages Take-Home

  • Adultes pratiquant régulièrement une activité physique,
  • ont moins de risques de développer la maladie de Parkinson.
  • L’activité physique régulière réduit la mortalité des patients atteints de la maladie de Parkinson.
  • Il existe des preuves d’un effet neuroprotecteur de l’activité physique à partir de modèles animaux de la maladie de Parkinson.
  • Une méta-analyse Cochrane a démontré un effet significatif de la physiothérapie sur la marche et l’équilibre dans la maladie de Parkinson, par rapport au placebo ou à l’absence de traitement.
  • L’activité physique doit être suffisamment longue (30 minutes) et fréquente (trois à cinq fois par semaine). Outre le jogging, la marche nordique, la natation et le vélo, le tai chi et le tango peuvent être envisagés.

Dr. med. Heiner Brunnschweiler
 

Littérature :

  1. Berardelli A, et al : Pathophysiology of bradykinesia in Parkinson’s disease. Brain 2001 ; 124 : 2131-2146.
  2. Falvo MJ, Schilling BK, Earhart GM : Parkinson’s disease and resistive exercise : rationale, review, and recommendations. MOV Disord 2008 ; 23 : 1-11.
  3. Vaserman N : Maladie de Parkinson et ostéoporose. Joint Bone Spine 2005 ; 72 : 484-488.
  4. Sato Y, et al : Forte prévalence de la carence en vitamine D et réduction de la masse osseuse dans la maladie de Parkinson. Neurology 1997 ; 49 : 1273-1278.
  5. Sato Y, et al : Risedronate et ergocalciférol préviennent les fractures de la hanche chez les hommes âgés atteints de la maladie de Parkinson. Neurology 2007 ; 68 : 911-915.
  6. Ahlskog JE : L’exercice vigoureux a-t-il un effet neuroprotecteur dans la maladie de Parkinson ? Neurology 2011 ; 77 : 288-294.
  7. Grazina R, Massano J : Exercice physique et maladie de Parkinson : influence sur les symptômes, l’évolution de la maladie et la prévention. Rev Neurosci 2013 ; 24(2) : 139-152.
  8. Xu Q, et al : Activités physiques et risque futur de maladie de Parkinson. Neurology 2010 ; 75 : 341-348.
  9. Kuroda K, et al : Effet de l’exercice physique sur la mortalité chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. Acta Neurol Scand 1992 ; 86 : 55-59.
  10. Tomlinson CL, et al : Physiotherapy versus placebo or no intervention in Parkinson’s disease (Review). Cochrane Database of Systematic Reviews 2013. Issue 9. Art. No. CD 002817.
  11. Li F, et al. : Tai chi et stabilité posturale chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. N Engl J Med 2012 ; 366(6) : 511-519.
  12. Duncan RP, et al. : Essai contrôlé randomisé de danse communautaire pour modifier la progression de la maladie dans la maladie de Parkinson. Neurorehabil Neural Repair 2012 ; 26(2) : 132-143.

InFo NEUROLOGIE & PSYCHIATRIE 2015 ; 13(1) : 11-14

Publikation
  • InFo NEUROLOGIE & PSYCHIATRIE
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