Dans l’esprit du public, le papillomavirus humain (HPV) est considéré comme un “virus féminin”, principalement associé au cancer du col de l’utérus. Dans les campagnes de vaccination, les programmes de prévention et l’éducation sexuelle à l’école, l’HPV apparaît surtout dans le contexte gynécologique. Pourtant, l’HPV est une infection sexuellement transmissible omniprésente dont le pouvoir oncogène a été démontré, non seulement dans le col de l’utérus, mais également dans de nombreux tissus urologiques. Dans une discipline comme l’uro-oncologie, où l’approche moléculaire de la biologie des tumeurs prend de plus en plus d’importance, la question se pose de savoir dans quelle mesure l’HPV est réellement pertinent pour les cancers urologiques.
Vous devriez également aimer
- ASCO 2025
Traitements de soutien pour une meilleure adhésion et une meilleure observance
- Rythme cardiaque
De la symphonie harmonieuse à la dissonance liée à l’âge
- Thérapie de précision
Inhibition ciblée de MET après progression sous osimertinib
- Toux chronique
Travail de détection du diagnostic différentiel et thérapies probatoires
- Le cancer en Europe : faits et analyses
Publication d’un nouveau rapport sur la politique de santé
- Les glomérulonéphrites : Néphropathie à IgA
Approches thérapeutiques basées sur la pathogenèse et la néphroprotection
- Préparation à base d'huile de lavande : utilisation à long terme et chez les adolescents
Une nouvelle analyse de la base de données comble d’importantes lacunes dans les connaissances
- Douleurs musculo-squelettiques chroniques