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Article technique
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Accélération du traitement des MICI : comment des soins précoces et holistiques permettent d’obtenir de meilleurs résultats

Nous avons le plaisir de vous inviter au 12ème roadshow IBD du 23 au 25 juin 2025 ! Le professeur Bruce Sands (Icahn School of Medicine, Mount Sinai, New York, USA), expert de renommée internationale, est en tournée en Suisse. Au cours de six manifestations – à Saint-Gall, Bâle, Berne, Lucerne, Lausanne et Genève – vous aurez l’occasion d’apprendre de première main les dernières connaissances sur le traitement des MICI…. Dieser Inhalt ist nur für Benutzer der Gruppe: Medizinische Fachperson zugänglich Jetzt beitretenAlready a member? Connectez-vous ici
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Nouvelle autorisation de mise sur le marché de SKYRIZI® (risankizumab) dans la colite ulcéreuse [1]

La colite ulcéreuse (CU) peut entraîner des lésions intestinales progressives et un handicap important dans la vie quotidienne des patients [2]. Avec l’approbation de SKYRIZI® (risankizumab), les patients atteints de RCH disposent désormais d’un nouveau traitement de première ligne [1]. Les données des études cliniques de phase 3 montrent une efficacité rapide et durable et permettent d’atteindre des objectifs à long terme tels que la guérison de la mucite chez jusqu’à 76% des patients sans échec préalable des traitements biologiques.$ possible [3, 4]…. Dieser Inhalt ist nur für Benutzer der Gruppe: Medizinische Fachperson zugänglich Jetzt beitretenAlready a member? Connectez-vous ici
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Le risankizumab est plus efficace que l’ustékinumab [1].

L’étude comparative SEQUENCE, récemment publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM), a comparé deux inhibiteurs de l’interleukine (IL) 23 et de l’IL-12/-23, le risankizumab (SKYRIZI®) et l’ustekinumab, chez des patients atteints de la maladie de Crohn (CD) [1-3]. Des analyses post-hoc complémentaires ont été présentées lors de la Semaine européenne unie de gastroentérologie (UEGW) qui s’est tenue à Vienne du 12 au 15 octobre 2024 [4-6]. Les résultats montrent notamment que, par rapport à l’ustékinumab, le risankizumab atteint des taux d’efficacité numériquement plus élevés indépendamment de la durée de la maladie, qu’il entraîne une normalisation plus importante des biomarqueurs et qu’il améliore significativement la qualité de vie [4-6].
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Des biomarqueurs soulignent la supériorité du risankizumab par rapport à l’ustékinumab dans la maladie de Crohn [1]

L’étude SEQUENCE a comparé le risankizumab à l’ustékinumab dans le traitement de la maladie de Crohn (MC) chez les patients en échec aux traitements anti-TNF. Des biomarqueurs tels que la calprotectine fécale (FC) et la protéine C-réactive (CRP) ont également été mesurés [1]. Outre les critères d’évaluation cliniques et endoscopiques, ces biomarqueurs ont permis d’évaluer objectivement l’évolution de la maladie [1].
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Risankizumab démontre sa supériorité par rapport à l’ustekinumab dans la maladie de Crohn [1]

Lors de la semaine européenne unie de gastroentérologie (UEGW), qui s’est tenue du 14 au 17 octobre 2023, les données de l’étude SEQUENCE actuelle ont été présentées et publiées entre-temps. [1,2]. In der randomisierten Phase-III-Head-to-Head-Studie wurde Risankizumab (SKYRIZI®) mit Ustekinumab zur Behandlung erwachsener Patient:innen mit mittelschwerem bis schwerem aktivem Morbus Crohn (CD, Crohn’s Disease) verglichen, bei denen eine oder mehrere Anti-TNF-Therapien versagt hatten [1]. Le risankizumab a satisfait à tous les critères d’évaluation primaires et secondaires et a démontré sa supériorité par rapport à l’ustékinumab [1]. SEQUENCE est donc la seule étude en tête-à-tête dans la maladie de Crohn qui démontre la supériorité d’un médicament biologique par rapport à un autre…
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Double autorisation de RINVOQ® (upadacitinib) dans la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn [1]

La colite ulcéreuse (CU) et la maladie de Crohn (MC) sont des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) qui peuvent entraîner des lésions intestinales progressives et des restrictions massives dans la vie quotidienne des patientes et des patients [2, 3]. Avec la double autorisation de RINVOQ® (upadacitinib), les patientes et les patients en Suisse disposent pour la première fois d’un inhibiteur sélectif de Janus kinases 1 (JAK1) s’administrant par voie orale pour le traitement de la CU et de la MC [1]. Les résultats des études cliniques pivots montrent une réponse rapide en l’espace de quelques jours, une rémission durable pendant 52 semaines et permettent d’envisager des objectifs thérapeutiques stricts à long terme tels que la cicatrisation muqueuse dans le cadre des deux indications [1, 4-8].
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“La guérison de la mucite est notre grand objectif”.

La désormais 11e roadshow suisse sur les MICI (10. – 12 juin 2024) s’est déroulée cette année sous le titre “ADVANCED THERAPIES IN IBD – TOWARDS A NEW SEQUENCE”. Entre ses conférences dans sept centres suisses, le professeur Laurent Peyrin-Biroulet de l’hôpital universitaire de Nancy, France, a partagé son expérience et ses réflexions sur les thérapies avancées et les séquences de traitement des maladies inflammatoires de l’intestin (MICI). Il a souligné l’efficacité des ajouts récents au paysage thérapeutique et a plaidé pour une analyse plus approfondie du profil bénéfice/risque des thérapies disponibles.