La fatigue liée à l’injection et la peur de l’aiguille font partie des barrières sous-estimées dans le traitement des patients atteints de sclérose en plaques récurrente-rémittente (SEPR). Des analyses récentes du monde réel montrent une persistance nettement plus faible des traitements de base injectables par rapport aux formes de traitement orales. Parallèlement, une étude de cohorte prospective montre que les barrières psychologiques, telles que la peur de l’injection, constituent un déterminant à part entière de l’absence de dose. Dans ce contexte, l’identification précoce des patients à risque et la prise en compte d’alternatives thérapeutiques orales sont essentielles pour garantir l’adhésion au traitement à long terme et donc son succès.
Autoren
- Tanja Schliebe
Publikation
- InFo NEUROLOGIE & PSYCHIATRIE
Related Topics
Vous devriez également aimer
- Cancer de la prostate
Diagnostic sans drame – ESMO 2025 sous le signe de la gestion différenciée des patients
- Vaccin conjugué anti-pneumococcique (PCV)
Meilleure couverture sérotypique possible dans chaque groupe d’âge
- Psoriasis : intervenir dans la cascade de l'inflammation
Avantages d’un traitement biologique précoce et peptide oral porteur d’espoir
- Imagerie basée sur l'IA et nouveaux biomarqueurs
Mise à jour du diagnostic de la maladie coronarienne
- Trouble bipolaire, Trouble anxieux, Dépression
Lurasidone en monothérapie pour le traitement de la dépression bipolaire de type I avec symptômes d’anxiété
- Hypertension artérielle : focus sur la ligne directrice ESC 2024
Nouvelle catégorie “hypertension artérielle” – quelles sont les implications thérapeutiques ?
- Evaluation des symptômes et des besoins en matière de soins palliatifs
Quels outils de dépistage sont utiles ?
- Gliomes pédiatriques de bas grade