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  • Médecine du genre - 1ère partie

Le côté féminin de la médecine sportive

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    • Médecine du sport
    • RX
  • 6 minutes de lecture

Il a fallu lutter longtemps pour que les performances sportives exceptionnelles des athlètes féminines soient reconnues au même titre que celles des athlètes masculins. Depuis, le débat sur la comparabilité des performances sportives des deux sexes a pris de l’ampleur. Une partie de la discussion porte sur les différences de morphologie entre les femmes et les hommes et sur l’impact de ces différences sur les performances.

Plusieurs publications sur le thème “Femmes et sport” commencent par évoquer les difficultés rencontrées par le passé par les sportives pour participer aux Jeux olympiques, la référence en matière d’événements sportifs. Le parcours semé d’embûches des femmes jusqu’aux Jeux olympiques est extrêmement intéressant d’un point de vue historique. Nous commencerons cet article par les conditions d’admission des athlètes féminines, qui ont été fondamentalement révisées depuis. Lors des derniers Jeux olympiques d’été à Rio de Janeiro, des médailles ont été attribuées dans 28 sports différents (de B comme badminton à V comme volley-ball), dans 27 d’entre eux les hommes étaient “autorisés” à participer, en gymnastique rythmique, la liste des participants était même composée exclusivement de gymnastes. En un peu plus d’un siècle, la situation a donc radicalement changé en ce qui concerne les critères d’admission, même si, à l’échelle mondiale, les femmes sont encore confrontées à de graves problèmes dans de nombreux pays (pays en développement, États islamiques). Ainsi, soit il n’y a pratiquement pas d’activités sportives pour les femmes, soit elles ne peuvent pas apparaître à visage découvert en public pour des raisons religieuses. La formation en commun avec les hommes est souvent totalement taboue. Néanmoins, on peut affirmer à l’adresse  que, du point de vue de la médecine sportive, ce changement montre clairement que les inquiétudes initiales et injustifiées concernant la santé se sont dissipées.

Ces changements sociologiques ne signifient pas pour autant que les femmes ne présentent pas de différences par rapport aux hommes en matière de pratique sportive, et il convient à présent d’examiner ces caractéristiques de plus près.

Comparaison de la corpulence entre les sexes

Commençons par les différences les plus évidentes, celles qui concernent la morphologie. Comme chacun sait, la femme et l’homme présentent des différences constitutionnelles caractéristiques. En moyenne, les femmes mesurent 10-15 cm de moins et pèsent 10-20 kg de moins que les hommes. La cause de cette taille réduite est la maturation plus rapide du squelette sous l’effet des hormones et la fermeture plus précoce des joints de croissance qui en résulte [1]. De même, l’accent mis sur le tronc par le sexe féminin est (bien) visible par rapport à l’accent mis sur les extrémités par le sexe masculin. Par rapport à l’homme, la femme a des membres plus courts mais une longueur de tronc relativement plus importante. D’un point de vue morphologique, la femme a des épaules plus étroites que l’homme, mais elle est qualifiée de large de bassin. La largeur du bassin représente environ 55% de la longueur du tronc, alors qu’elle n’est que d’environ 50% chez l’homme (fig. 1). Cette caractéristique est importante du point de vue de la médecine sportive, car cette largeur de hanche entraîne par compensation une position X-B physiologique. Associée à l’appui du tronc, cette position génois-valgus favorise un déplacement du centre de gravité vers le bas, ce qui peut avoir des conséquences négatives en sport, notamment dans les disciplines de course et de saut.

 

 

Mammae et activité sportive

L’une des différences morphologiques les plus évidentes entre l’homme et la femme concerne les mamelons. Cet organe joue un rôle central, y compris sur le plan psychologique, en tant qu’élément de la confiance en soi et de l’image corporelle. Mais aussi dans le contexte du sport, où ils semblent poser quelques problèmes. Ce que l’on sait peu de nos jours, c’est que près d’une femme sur cinq renonce à toute activité physique en raison de ses seins, considérés comme un handicap. Les plaintes mentionnées sont des regards jugés désagréables sur les gros seins, mais aussi des douleurs [3]. Il ne faut pas oublier que, selon leur volume, les mamelons peuvent peser jusqu’à 200 g par côté, ce qui peut avoir un impact sur la posture. Les douleurs lombaires liées à une poitrine volumineuse ne sont pas rares. On connaît quelques cas de plastie de réduction dans le sport de haut niveau (la finaliste de Roland-Garros 2017, tennis). Il peut également y avoir des douleurs plus locales, dues aux mouvements plus amples de l’organe lors de l’activité physique. Une étude britannique récente a pu montrer que les seins féminins bougent beaucoup plus qu’on ne le pensait jusqu’à présent, et ce dans toutes les directions, pas seulement de haut en bas [4]. Cette constatation s’est révélée indépendante de la taille du sein. Les femmes ayant une petite poitrine peuvent ressentir la même douleur lors des exercices que les sportives à la poitrine généreuse. Cela peut être dû à des lésions du ligament de Cooper, le seul système de suspension anatomique du mamelon. Ces considérations sont étroitement liées au choix du support de poitrine, tous les modèles ne sont pas adaptés à la pratique du sport. Les fabricants, mais aussi les spécialistes médicaux, recommandent d’apporter le même soin au choix d’un soutien-gorge adapté au sport qu’au choix d’une chaussure de course. En effet, il serait regrettable que les femmes soient découragées de pratiquer une activité physique, car une activité physique régulière semble avoir un effet protecteur avéré contre le développement de tumeurs malignes dans le sein [5].

Dans le contexte plus large du sport et de son influence sur le tissu mammaire, il faut mentionner les traumatismes directs (coups, ceintures de sécurité, ballons, etc.).  Une fois encore, la protection offerte par les vêtements joue un rôle important. Les hématomes qui en résultent ont tendance à se calcifier, ce qui peut entraîner certaines difficultés dans l’interprétation des mammographies.

Dernier point, la perturbation de certains équilibres hormonaux par les secousses répétées des seins. Des variations de la sécrétion de prolactine ont été décrites en fonction du port ou non d’un soutien-gorge de sport pendant la course, de même que l’absence de maintien peut entraîner une aménorrhée [6] et une galactorrhée. Il est donc intéressant de s’interroger sur de telles habitudes vestimentaires en cas de troubles endocriniens chez les coureuses.

Structure osseuse

Si l’on considère la structure osseuse en termes de différences entre les sexes, on constate que le sexe féminin possède une ossature “plus légère” par rapport au sexe masculin, associée à un degré de minéralisation plus faible (poids environ 25% plus léger). En conséquence, il faut s’attendre à une résistance mécanique plus faible, ce qui explique très probablement le risque 2 à 6 fois plus élevé de fractures de stress [1]. En ce qui concerne la musculature, la femme possède une masse musculaire inférieure de plus de 10% à celle de l’homme. Il semble qu’il existe également des différences entre les sexes en ce qui concerne la composition des fibres musculaires : chez les femmes, le type de fibres musculaires I domine. La surface de la section des fibres musculaires est également plus petite chez la femme (15-40%), ce qui explique pourquoi la force maximale du sexe féminin est également inférieure à celle de l’homme dans une relation similaire. Toutes ces particularités, renforcées par les influences anatomiques et hormonales dont nous avons déjà parlé, expliquent le risque de blessure presque 10 fois plus élevé pour les ruptures du ligament croisé antérieur [2]. Le dernier point à mentionner est le dépôt de graisse des femmes, plus généreux que celui des hommes. La différence est d’environ 10% [7]. Ce facteur, associé à une ossature plus légère, confère à la femme une densité corporelle plus faible, ce qui, combiné à l’anatomie du bassin, à la position plus basse du centre de gravité du corps et à la longueur plus importante du tronc, est responsable d’avantages en termes de position de nage.

 

Vous trouverez la deuxième partie de cet article dans le numéro 10 de HAUSARZT PRAXIS.

 

Littérature :

  1. Neumann G, Buhl H : Conditions biologiques de performance et aspects physiologiques de l’entraînement chez les femmes entraînées. Med Sport 1981 ; 21 : 154-160.
  2. Weineck J. : Biologie du sport. Éditions Spitta 2004
  3. Burnett E, et al : The Influence of the Breast on Physical Acitvity Participation in Females. J Phys Act Health 2015 ; 12(4) : 588-594.
  4. Risius D, et al : Multiplanar breast cinematics during different exercise modalitites. Eur J Sport Sci 2015 ; 15(2) : 111-117.
  5. Lynch BM, et al : Physical acitivity and breast cancer prevention. Résultats récents Cancer Res 2011 ; 186 : 13-42.
  6. Prior J, et al : Prolactin changes with exercise vary with breast motion : Analysis of running versus cycling. Fertility and Sterility 1981 ; 36:268.
  7. Tomasists J, Haber P. : Physiologie de la performance, manuel pour les physiothérapeutes sportifs et les entraîneurs. Sprinter Verlag Berlin Heidelberg 2016.

PRATIQUE DU MÉDECIN DE FAMILLE 2017 ; 12(9) : 6-8

Autoren
  • Dr. med. Peter Jenoure
Publikation
  • HAUSARZT PRAXIS
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